Le plateau d’orateur peut apparaître à des Sœurs ou des Frères qui l’occupent pour la première fois comme un office redoutable, parce qu’il demande un travail important, une vigilance constante, une connaissance des textes fondateurs des obédiences : constitution et règlement général, ainsi qu’une certaine éloquence, à la fois maîtrise de l’oral et de l’écrit. La voix de l’Orateur scande aussi, par ses planches rituelles, les moments forts d’un atelier. De telles planches peuvent, surtout au début, confronter à la crainte, à l’hésitation, à l’incertitude.
Jean–Claude Brault, initié en 1982 il a occupé de nombreux plateaux en loge, dont celui d’ orateur, il fut membre du Conseil de l’Ordre du GODF Marc Orrillard, initié en 1993 il a occupé de nombreux plateaux en loge, dont celui d’orateur. Dans la vie profane, il fut médecin réanimateur Alain Vernet, initié en 1991 il a occupé de nombreux plateaux en loge, dont celui d’ orateur, il fut membre du Conseil de l’Ordre du GODF, Grand Officier aux affaires Humanitaires. Il fut Orateur du congrès régional des loges du Centre et Orateur du Convent 2002.
9782365982214
Fiche technique
Hauteur
205
Largeur
145
Epaisseur
25
Nombre de pages
382
Composition
Couverture: Carte 250 gr pelliculée brillant - Pages 80 gr bouffant
Pour vous permettre d'apprécier la qualité des textes que nous éditons, nous vous proposons de télécharger les 12 premières pages de cet ouvrage; un avant goût du plaisir que vous aurez en lisant l'intégralité de cet ouvrage. Nous vous souhaitons de passer d'agréables moments en lecture.
Pourquoi un Tarot avec Sainte Jehanne d’Arc ? Pour illustrer ce livre, nous avons eu recours à un Tarot dessiné par nos soins. Son thème est très simple : tous les rôles sont occupés par Jehanne. Nouveauté ou hérésie? Pour commencer, précisons deux choses : nous sommes, de métier, imagier ; et nous entretenons avec Jehanne (1412-1431) une relation spirituelle depuis 20 ans. Nous nous arrêtons là quant aux raisons de notre travail. En revanche, nous pouvons expliquer un peu plus notre démarche.
Christophe Dumas est diplômé d’histoire de l’Université de Saint-Étienne. Il a enseigné cette matière pendant dix-neuf ans avant de se tourner vers la carrière de personnel de direction. Il est actuellement principal de collège.
Christophe Dumas est diplômé d’histoire de l’Université de Saint-Étienne. Il a enseigné cette matière pendant dix-neuf ans avant de se tourner vers la carrière de personnel de direction. Actuellement principal de collège, il est l’auteur de «Un passementier stéphanois dans la Grande Guerre» et de sa version romancée, «Le voyage d’Eustache».
L’auteur, Éric Sardaigne, Stéphanois et professionnel de santé nous gratifie de son quatrième roman. Il décrit des personnages à plusieurs visages, face à une vérité qui s’imposera à eux dans un quotidien qui perd au fil des jours ses illusions.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil, Charbon rouge) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
Ata RIAZI, médecin généraliste, nous fait revisiter la schizophrénie, au travers d’une histoire tendre. Il fait vivre son personnage dans des lieux de la très grande métropole Stéphanoise, en commençant par Yssingeaux en passant par Firminy, Saint-Étienne pour se terminer dans les ruelles de Saint-Priest-en-Jarez.
“Plongeons maintenant notre réflexion dans l’ immensité du temps. Il y a 13,8 milliards d’ années, le Big Bang a marqué le début de notre univers, et il y a 2,5 millions d’ années, Homo sapiens a fait son entrée sur la scène de la Terre. Entre ces deux événements majeurs s’ est déroulé un voyage extraordinaire, que nous pouvons mettre à l’ échelle d’ une année pour en saisir toute la portée. C’ est dans cette perspective que nous explorerons non seulement l’ histoire de l’ humanité, mais aussi celle de Louise, une dame charmante de 102 ans. À travers cet essai, nous plongerons dans le passé tout en envisageant l’ avenir.”
L'auteur Emilio MORAIS pour son troisième ouvrage nous gratifie de 100 beaux poèmes en alexandrin et nous parle d'amour, toujours avec la même pudeur, la même fugue et le même souci de toucher le cœur des lecteurs et plus encore celui des lectrices
L'auteur Ray Moraux est Ingénieur, diplômé du Conservatoire National des Arts et Métiers. Il a collaboré aux Expéditions Polaires Françaises, tant en Antarctique qu'au Groenland. Son intérêt pour les régions arctiques l'a conduit, aussi bien, sur les traces de la grande migration de printemps des rennes en Laponie, entre Inari (Finlande) et Karasjok (Norvège) ; qu'à accompagner Jean Corbel
aurai exploré le monde Swahili, naviguant depuis l’Arabie, y pénétrant par le nord, longeant la côte Est-Africaine doublant ainsi les cités de Magadiscio, Lamu, Malindi, Monbasa, Zanzibar, Mafia, Kilwa, Les Comores, Sofala et peut-être Mahajanga sur la côte nord-ouest de Madagascar.
Éric Sardaigne est d’origine stéphanoise, il a exercé sa profession dans le secteur de la santé. Toujours attiré par la littérature, certaines rencontres et lectures l’ont conforté dans son désir d’écrire. Il y a quelques années il a participé à la création d’une pièce de théâtre. « Le coup du berger » est son troisième roman.
Cent façons : soit cent textes de dix vers chacun (des « dizains » disait l’autre...), lesquels, indépendants et autonomes, sont dits « bêtes »... Tous en effet ont en facteur commun le monde des animaux ; des noms, connus ou plus rares, porteurs d’interrogations, source de modulations souvent ludiques, souvent révélatrices : la cohabitation animal-homme reste d’un équilibre complexe. Le rythme du dizain, quant à lui, est en soi une forme d’harmonie interne : en supprimant les zéros de « 10 » vers et de « 100 » textes, l’on retrouve le 1, ce Un d’origine et d’aboutissement d’une totalité créatrice symbolique ; tout un programme à découvrir sans façon...
Yves Rousset, préfet honoraire, signe son second ouvrage. Il le consacre cette fois-ci à un épisode de la vie de ses parents de 1943 à 1945. Initialement destiné aux arrière-petits-enfants du sergent Rousset, le récit détaille de manière très documentée les dates, les lieux, les évènements auxquels cet ancien de la Coloniale et de la Légion a participé avec sa section. Il montre aussi la relation qu’entretient le soldat avec son épouse Hélène, restée au Maroc au cours de cette période.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
Né en 1949, Pierre Gentes a effectué des études scientifiques qui l’ ont conduit à exercer une activité professionnelle dans le milieu des télécommunications. Ses missions au sein de l’ entreprise, ses engagements dans le milieu sportif et associatif, ont développé ses capacités d’ écoute et de gestion et lui ont permis d’ assumer une activité d’ élu local et de maire. Retiré de son activité professionnelle et de son engagement électif, il consacre du temps au sport, à la lecture, à l’ écriture et à la découverte.
Au-delà de la vie, en deçà de la mort, alors qu’il se sent « de trop » pour lui-même et pour les autres, Jean-Paul Isaërt est parvenu à ce seuil où vivre se réduit à durer, sans espoir ni regret, dans l’attente indéfinie de l’inéluctable. Quel chemin va-t-il s’inventer (dans l’attente de quel miracle) avant de connaître enfin l’ultime délivrance ?
Le vieux moine lui fit signe de le suivre. Olivier était gêné à l’extrême. Attendait-il de lui quelque chose ? Mais quoi ? Olivier se sentit dans l’inconfortable situation de celui qui est sollicité et qui ne peut répondre. Alors, il prit son bissac et le lui donna. Le vieux le refusa de la main, un sourire aux lèvres et lui demanda : — Qui es-tu ? — Un cherchant, passant. — Comment te nommes-tu ? — Je m’appelle Olivier. — Que cherches-tu ? — Je me cherche moi-même pour mieux comprendre le monde. — Et tu penses y arriver ? — Je ne sais pas...
Cet ouvrage rare, entièrement nettoyé et conforme à l’original dans la pagination, est une mémoire qui dépasse une région : il est le reflet de la vie maçonnique au XVIIIe et XlXe siècle en France.
Après avoir exercé pendant vingt ans la psychanalyse et la psychothérapie, Henri Paumelle tente aujourd’hui de transmettre une part de ce qu’il a compris par la traversée de ces espaces non-ordinaires de conscience. Par les temps de troubles que traversent nos sociétés, au-delà des peurs, au-delà des drames collectifs et individuels, l’auteur conclut par un appel à ne pas craindre l’effondrement. Il s’agit de rester ouvert à l’Inconnu et sa part de lumière.