Ce roman retrace et lie toutes ces histoires de personnages hauts en couleur. Et si les violences et l’ennui sont l’apanage de tous, Joséphine comprend qu’une autre transmission est possible. Ce qui donne de la lueur aux yeux de ceux qui parviennent à changer l’atmosphère en pénétrant une pièce relève bien plus de ce qu’ils dansent avec la violence que de ce qu’ils la laissent colorer leur chair en bleu. C’est de ça qu’il s’agit finalement : apprendre à dresser partout des pistes de danse.
L’histoire commence une nuit d’été qui vient clôturer le genre de journée qui nous fait nous demander si ça vaut vraiment le coup d’être vivant. Joséphine sort de la pizzeria grossière dans laquelle elle travaille pour aller se vautrer dans son appartement bondé de copains maladroits et d’un amoureux exigeant. Si sa vie l’ennuie jusqu’à la forcer à s’inventer un monde où seule l’intensité compte, elle sera vite servie de rebonds. Ce même soir, son petit ami en préfère une autre à quelques mètres d’elle et sa sœur cherche à tout quitter pour vérifier si c’est vraiment aussi bien qu’on le dit derrière les nuages. Tétanisée, Joséphine part. Elle a lu ça quelque part : il faut fuir pour mieux regarder sa vie. Tous ces événements lui ont fait perdre la clé de son monde imaginaire. Surtout, si sa sœur a préféré pour un instant aller se reposer hors de tout temps, c’est qu’il fallait rompre l’héritage des violences sexistes. Poisons maléfiques qui s’abattent depuis des générations sur toutes les femmes de la famille. Et dès son arrivée dans le train qui la mènera vers sa recomposition, elle se retrouve dépositaire du récit des autres. En héritière, elle part à la chasse aux confidences de tous ceux qu’elle croise.
9782365982122
Fiche technique
Hauteur
205
Largeur
145
Epaisseur
24
Nombre de pages
310
Composition
Couverture: Carte 250 gr pelliculée mat - Pages 80 gr bouffant
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Après plusieurs années de combats psychologiques et de deuil, j’ ai fait le choix de tout retranscrire sur papier pour ne jamais oublier et peut-être aider quelqu’ un à surmonter la perte d’ un proche ou encore la dépression. Bienvenue dans le plus grand combat de ma vie. Tu vas revivre avec moi chaque douloureuse étape de ces années de souffrance et ce, en toute transparence. Tu vas assister à l’ annonce, à la cérémonie, à la crémation ainsi qu’ à ces manifestations dites « paranormales ». Tu me suivras également dans toutes les étapes de mon deuil et tu m’ accompagneras dans ma dépression. En résumé, tu vas comprendre comment l’ amour a failli me tuer et m’ a sauvé en même temps.
Marianne et Sarah sont amies, elles se suivent et se perdent, elles croient se connaître. Mais lorsque Sarah meurt tragiquement, Marianne cherche à reconstituer son histoire.
Elle remonte le passé, jusqu'à la Turquie des années 20, la France d'avant-guerre, l'Uruguay et les Etats-Unis. Elle découvre l'histoire d'une famille qui a traversé le 20ème siècle et trois continents. Elle y cherche tous ceux qui ont connu Sarah. Mais que savait-on vraiment de cette fille en noir ?
Claude Planud est né en 1956 à Sainte-Foy l’Argentière dans le Rhône. Dès son adolescence, il s’amuse à écrire des histoires, puis au collège des poèmes, enfin, à l’aube du XXIe siècle, plusieurs romans. Amateur éclectique d’Histoire, d’aventure, thriller, science-fiction, fantastique ; la liste est longue.
Christophe Dumas est diplômé d’histoire de l’Université de Saint-Étienne. Il a enseigné cette matière pendant dix-neuf ans avant de se tourner vers la carrière de personnel de direction. Il est actuellement principal de collège. Eustache et Jacques Denis sont son arrière-grand-père et son grand-oncle.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil, Charbon rouge) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
Ce roman retrace et lie toutes ces histoires de personnages hauts en couleur. Et si les violences et l’ennui sont l’apanage de tous, Joséphine comprend qu’une autre transmission est possible. Ce qui donne de la lueur aux yeux de ceux qui parviennent à changer l’atmosphère en pénétrant une pièce relève bien plus de ce qu’ils dansent avec la violence que de ce qu’ils la laissent colorer leur chair en bleu. C’est de ça qu’il s’agit finalement : apprendre à dresser partout des pistes de danse.