Jean-Philippe Arquelino est un chercheur spirituel autodidacte qui a eu le bonheur de s’éveiller à la vraie nature de l’être, après un long cheminement intérieur. Relié pour toujours à ce qui se cache au-delà des apparences. Il sait comment percer le voile ténébreux de la complexité pour laisser briller la simplicité du langage du cœur. À la fois iconoclastes et humanistes, ses paroles percutantes ont le pouvoir d’attiser le feu de l’Esprit pour aider le lecteur à grandir en sagesse et y voir plus clair dans sa quête du bonheur de vivre.
Oui, l’existence humaine a un sens et un but ultime : grandir en conscience au fil des incarnations pour parvenir à déchirer, un jour béni des dieux, le voile qui empêche de voir le monde avec les yeux du Sage. Dans la première partie de cet ouvrage rédigé dans un langage volontairement fluide et accessible, l’auteur dénonce les mécanismes égotiques qui s’imposent encore à l’homme inconscient, cet être hypnotisé par le « métro-boulot-dodo » qui ne s’intéresse que trop peu aux questions existentielles. Il invite le lecteur à s’interroger sur lui-même tout en lui laissant entrevoir ce qui se cache au-delà de l’enclos, ce qui apparaît quand on sort au grand jour pour observer le monde, après avoir longtemps vécu attaché dans la caverne de Platon. Dans la seconde partie, il démontre que toutes les Traditions spirituelles vont dans le même sens ; toutes invitent en effet l’Homme à s’initier à la vie consciente pour cheminer jusqu’à l’éveil au Réel. L’auteur nous parle des enseignements de Jésus, de l’histoire de Moïse et des hébreux, de kabbale, de la sagesse du Coran, de soufisme, du cheminement spirituel de Bouddha, avant de parcourir un à un les arcanes du Tarot de Marseille pour accompagner le Bateleur, du monde inconscient jusqu’au plus haut degré de sagesse. Pour finir en beauté, il décrypte les enseignements de Vérité emplis de magie et de poésie, d’un conte initiatique qui a fait chavirer les âmes du monde entier : « Le Petit Prince » de Saint-Exupéry. Après avoir lu ce livre qui tire sa source des grandes profondeurs spirituelles, il n’est plus possible pour le lecteur d’échapper à sa destinée. À vous de vivre cette foudroyante expérience.
9782365982153
Fiche technique
Hauteur
205
Largeur
145
Epaisseur
30
Nombre de pages
412
Composition
Couverture: Carte 250 gr pelliculée mat - Pages 80 gr bouffant
Pour vous permettre d'apprécier la qualité des textes que nous éditons, nous vous proposons de télécharger les 12 premières pages de cet ouvrage; un avant goût du plaisir que vous aurez en lisant l'intégralité de cet ouvrage. Nous vous souhaitons de passer d'agréables moments en lecture.
Cent façons : soit cent textes de dix vers chacun (des « dizains » disait l’autre...), lesquels, indépendants et autonomes, sont dits « bêtes »... Tous en effet ont en facteur commun le monde des animaux ; des noms, connus ou plus rares, porteurs d’interrogations, source de modulations souvent ludiques, souvent révélatrices : la cohabitation animal-homme reste d’un équilibre complexe. Le rythme du dizain, quant à lui, est en soi une forme d’harmonie interne : en supprimant les zéros de « 10 » vers et de « 100 » textes, l’on retrouve le 1, ce Un d’origine et d’aboutissement d’une totalité créatrice symbolique ; tout un programme à découvrir sans façon...
L'auteur Didier BECKAERT, a fait ses armes dans de beaux établissements gastronomiques du Nord de la France. L’ Auberge Fleurie, L’ Auberge de Didier Beckaert, La table d’ hôtes du Colisée...
Il poursuit son parcours au Maroc ou depuis près de vingt ans il régal les gourmets dans son établissement La villa Al Assala de Marrakech.
Eric Sardaigne est d’origine stéphanoise, il a exercé sa profession dans le secteur de la santé. Toujours attiré par la littérature, certaines rencontres et lectures l’ont conforté dans son désir d’écrire. Il y a quelques années il a participé à la création d’une pièce de théâtre. « Le Bruit du Pic-Vert » est son premier roman.
Après avoir exercé pendant vingt ans la psychanalyse et la psychothérapie, Henri Paumelle tente aujourd’hui de transmettre une part de ce qu’il a compris par la traversée de ces espaces non-ordinaires de conscience. Par les temps de troubles que traversent nos sociétés, au-delà des peurs, au-delà des drames collectifs et individuels, l’auteur conclut par un appel à ne pas craindre l’effondrement. Il s’agit de rester ouvert à l’Inconnu et sa part de lumière.
Eric Sardaigne est d’origine stéphanoise, il a exercé sa profession dans le secteur de la santé. Toujours attiré par la littérature, certaines rencontres et lectures l’ont conforté dans son désir d’écrire. Il y a quelques années il a participé à la création d’une pièce de théâtre. « Des roses pour m’apaiser » est son deuxième roman.
L’auteur, Éric Sardaigne, Stéphanois et professionnel de santé nous gratifie de son quatrième roman. Il décrit des personnages à plusieurs visages, face à une vérité qui s’imposera à eux dans un quotidien qui perd au fil des jours ses illusions.
L’ auteur, Stéphanois est agent hospitalier et entrepreneur, père de 3 enfants, « Quoi qu’on dise… » est son premier ouvrage que l’on peut nommer témoignage ou récit. Ou hormis, certains détails et noms tout est vrai.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil, Charbon rouge) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
« Vous ne vous sentez pas très bien comme bloqué dans votre évolution sociale, professionnelle, ou encore spirituelle ; vous aurez des réponses dans ce recueil. Vous apprendrez à identifier la présence d’implants énergétiques, à comprendre les raisons de qui vous les a transmis, et quelques méthodes pour vous en débarrasser. Toutes les informations contenues dans cet ouvrage vous permettront de conscientiser leur existence pour avoir une idée précise de leurs répercussions.
Ce roman retrace et lie toutes ces histoires de personnages hauts en couleur. Et si les violences et l’ennui sont l’apanage de tous, Joséphine comprend qu’une autre transmission est possible. Ce qui donne de la lueur aux yeux de ceux qui parviennent à changer l’atmosphère en pénétrant une pièce relève bien plus de ce qu’ils dansent avec la violence que de ce qu’ils la laissent colorer leur chair en bleu. C’est de ça qu’il s’agit finalement : apprendre à dresser partout des pistes de danse.
L'auteur Ray Moraux est Ingénieur, diplômé du Conservatoire National des Arts et Métiers. Il a collaboré aux Expéditions Polaires Françaises, tant en Antarctique qu'au Groenland. Son intérêt pour les régions arctiques l'a conduit, aussi bien, sur les traces de la grande migration de printemps des rennes en Laponie, entre Inari (Finlande) et Karasjok (Norvège) ; qu'à accompagner Jean Corbel
C'est un recueil pour les quincas, les matrus et tous les garagnats du Bois Mon, mais aussi pour toutes celles et ceux qui se demandent quel goût peut bien avoir la gnole de babets.
Né en 1949, Pierre Gentes a effectué des études scientifiques qui l’ ont conduit à exercer une activité professionnelle dans le milieu des télécommunications. Ses missions au sein de l’ entreprise, ses engagements dans le milieu sportif et associatif, ont développé ses capacités d’ écoute et de gestion et lui ont permis d’ assumer une activité d’ élu local et de maire. Retiré de son activité professionnelle et de son engagement électif, il consacre du temps au sport, à la lecture, à l’ écriture et à la découverte.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
L’auteur né en avril 1966, passionné par la lecture, avec des goûts très éclectiques ouvre «La boîte à livres» du Cyrano à Monistrol sur Loirs où il officie comme limonadier. Il nous livre ici son premier roman à déguster sans modération.
Le vieux moine lui fit signe de le suivre. Olivier était gêné à l’extrême. Attendait-il de lui quelque chose ? Mais quoi ? Olivier se sentit dans l’inconfortable situation de celui qui est sollicité et qui ne peut répondre. Alors, il prit son bissac et le lui donna. Le vieux le refusa de la main, un sourire aux lèvres et lui demanda : — Qui es-tu ? — Un cherchant, passant. — Comment te nommes-tu ? — Je m’appelle Olivier. — Que cherches-tu ? — Je me cherche moi-même pour mieux comprendre le monde. — Et tu penses y arriver ? — Je ne sais pas...
L’Afrique fait parfois rêver les hommes ; elle les fait aussi divaguer et il a fallu attendre les travaux d’anthropologues et d’ethnologues pour comprendre que l’on ne pouvait décliner sa diversité et sa richesse culturelle dans le camaïeu d’un noir continent.
Cet ouvrage rare, entièrement nettoyé et conforme à l’original dans la pagination, est une mémoire qui dépasse une région : il est le reflet de la vie maçonnique au XVIIIe et XlXe siècle en France.