Né en 1949, Pierre Gentes a effectué des études scientifiques qui l’ont conduit à exercer une activité professionnelle dans le milieu des télécommunications. Ses missions au sein de l’entreprise, ses engagements dans le milieu sportif et associatif, ont développé ses capacités d'écoute et de gestion et lui ont permis d’assumer une activité d’élu local et de maire. Retiré de son activité professionnelle et de son engagement électif,
L’auteur Pierre GENTES nous propose une fiction dans laquelle une jeune femme, connue pour sa beauté et son opiniâtreté, affronte la problématique de l’entrée de la drogue dans les lycées. Cette ancienne professeure de mathématique, devenue inspectrice, fait de ce sujet son combat. Cette femme de conviction et de caractère sera enlevée par des malfrats rétribués par un réseau de trafiquants de drogue et à la marge dans le sexe. Le juge d’instruction parviendra à la libération de la disparue détenue pendant vingt-huit jours dans un immeuble de Firminy. En revanche, l’institution judiciaire ne parviendra pas à lever totalement le doute sur le fait que cette femme ait pu être victime de harcèlement sexuel de la part du maire du Puy-en-Velay. En effet, il avait eu un flirt dans la période lycéenne, et a gardé du béguin pour elle. Ce qui est plus désagréable encore pour cet édile, c’est que cette femme est devenue, l’épouse du chef de l’opposition municipale de la cité ponote. Quelques jours après sa libération, cette femme, qui effraye et inquiète des affairistes, sera victime d’un attentat par arme à feu, mais elle survivra. Quant aux enquêteurs, ils cherchent encore qui, entre le maire du Puy-en-Velay ou le milieu de la pègre, aurait voulu se venger sur cette femme qui venait d’être libérée sans que la rançon demandée ne soit payée. L’histoire se déroule en grande partie en Haute-Loire sur les communes du Monastier-sur-Gazeille et du Puy en Velay, sans oublier le village de Crouziols qui est au point de départ de cette affaire. Les enquêteurs ont été amenés à diligenter des recherches sur les secteurs
9782365982191
Fiche technique
Hauteur
205
Largeur
145
Epaisseur
34
Nombre de pages
424
Composition
Couverture: Carte 250 gr pelliculée mat - Pages 80 gr bouffant
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Pierre Gentes nous livre son troisième roman, "Un cheminement politique"
Il a effectué des études scientifiques qui l’ont conduit à exercer une activité professionnelle dans le milieu des télécommunications. Ses missions au sein de l’entreprise, ses engagements dans le milieu sportif et associatif, ont développé ses capacités d’écoute et de gestion et lui ont permis d’assumer une activité d’élu local et de maire. Retiré de son activité professionnelle et de son engagement électif, il consacre du temps au sport, à la lecture, à l’écriture et à la découverte.
C’est lors d’une séance de dédicaces, des deux auteurs, Christian VEROT (capitaine Bouveuil, Charbon rouge) et Georges Baudot (le prince du bois Mon) à la fête du livre de Saint-Étienne que l’idée de faire cohabiter une enquête policière et le parler stéphanois (gaga) a germée.
Né en 1938 à Firminy (Loire), André Laurent a créé et développé une entreprise de haute technologie dans le domaine de l’assemblage mécanique. En 1983, il fut appelé au chevet de l’Association Sportive de Saint-Étienne après la crise de la « caisse noire ». Il passa dix ans à redresser le club. En 1995, un nouveau challenge s’offrit à lui pour un bail de dix ans à la tête de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Saint-Étienne/Montbrison. Durant toute sa vie, il n’a eu de cesse de se battre pour ce territoire qui l’a vu naître, ses entreprises et ses habitants.
Eric Sardaigne est d’origine stéphanoise, il a exercé sa profession dans le secteur de la santé. Toujours attiré par la littérature, certaines rencontres et lectures l’ont conforté dans son désir d’écrire. Il y a quelques années il a participé à la création d’une pièce de théâtre. « Des roses pour m’apaiser » est son deuxième roman.
Au-delà de la vie, en deçà de la mort, alors qu’il se sent « de trop » pour lui-même et pour les autres, Jean-Paul Isaërt est parvenu à ce seuil où vivre se réduit à durer, sans espoir ni regret, dans l’attente indéfinie de l’inéluctable. Quel chemin va-t-il s’inventer (dans l’attente de quel miracle) avant de connaître enfin l’ultime délivrance ?