Fanal - "Poèmes d’enfance"
Limousin depuis 1947, angliciste de formation, ligérien depuis 1982, écrit au quotidien pour répondre à l’appel de la forme brève de cet ensemble de 10 vers qui chaque fois l’amène ( 10=1+0=1 ) à renouer avec le Un, symbole de l’être ( entre autres ).
Pourquoi l’enfance ? Parce qu’elle est l’acte fondateur plus ou moins conscient d’une suite imprévisible. Parce qu’elle est jeux de sable et jeux de langage dont rendent ici compte à chaque page des dizains ( ensemble de dix vers de longueurs diverses ),tous plus ou moins porteurs de leur ombre propre qu’éclaire la lueur du fanal du souvenir ; ils invitent
à une lecture ponctuelle autant que brève : ils sont « brèves de contoir »…
Fiche technique
- Hauteur
- 205
- Largeur
- 145
- Epaisseur
- 9 mm
- Nombre de pages
- 114
- Composition
- Couverture: Carte 250 gr pelliculée brillant - Pages 80 gr bouffant
Références spécifiques
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JONCTIONS
Dix petites lignes seulement pour faire un tout : instantanéité et brièveté de cet art « mineur » sont les deux mamelles d’une forme poétique à laquelle un regard cursif et pressé ne saurait s’abreuver…
La pratique de la « slow » poésie dès lors est fortement recommandée pour que s’établissent ces « jonctions » porteuses entre verbe et lecture.
Junctio fiat
Un jour et mille nuits
Martial Goyard a quitté la vie publique. Depuis, il part à la rencontre des mots pour y trouver la complicité nécessaire à l’écriture d’un monde tourmenté, et à ses états d’âme.
Les flammes de l'amour
La vie
La vie se résume en deux mots :
Naître sans le vouloir
Grandir sans s’en apercevoir
Tomber amoureux
Comme peut tomber la foudre
Pleurer en cachette
Et mourir de chagrin
CENT FAÇONS Poémes-bêtes
Cent façons : soit cent textes de dix vers chacun (des « dizains » disait l’autre...), lesquels, indépendants et autonomes, sont dits « bêtes »... Tous en effet ont en facteur commun le monde des animaux ; des noms, connus ou plus rares, porteurs d’interrogations, source de modulations souvent ludiques, souvent révélatrices : la cohabitation animal-homme reste d’un équilibre complexe.
Le rythme du dizain, quant à lui, est en soi une forme d’harmonie interne : en supprimant les zéros de « 10 » vers et de « 100 » textes, l’on retrouve le 1, ce Un d’origine et d’aboutissement d’une totalité créatrice symbolique ; tout un programme à découvrir sans façon...