La poésie est un genre littéraire très ancien, aux formes variées, écrites généralement en vers mais qui admettent aussi la prose, et qui privilégient l'expressivité de la forme, les mots disant plus qu'eux-mêmes par leur choix (sens et sonorités) et leur agencement (rythmes, métrique, figures de style).
Fanal - "Poèmes...
Limousin depuis 1947, angliciste de formation, ligérien depuis 1982, écrit au quotidien pour répondre à l’appel de la forme brève de cet ensemble de 10 vers qui chaque fois l’amène ( 10=1+0=1 ) à renouer avec le Un, symbole de l’être ( entre autres ).
Fractales
Limousin depuis 1947, angliciste de formation, ligérien depuis 1982, écrit au quotidien pour répondre à l’appel de la forme brève de cet ensemble de 10 vers qui chaque fois l’amène ( 10=1+0=1 ) à renouer avec le Un, symbole de l’être ( entre autres ).
Les flammes de l'amour
La vie
La vie se résume en deux mots :
Naître sans le vouloir
Grandir sans s’en apercevoir
Tomber amoureux
Comme peut tomber la foudre
Pleurer en cachette
Et mourir de chagrin
JONCTIONS
Dix petites lignes seulement pour faire un tout : instantanéité et brièveté de cet art « mineur » sont les deux mamelles d’une forme poétique à laquelle un regard cursif et pressé ne saurait s’abreuver…
La pratique de la « slow » poésie dès lors est fortement recommandée pour que s’établissent ces « jonctions » porteuses entre verbe et lecture.
Junctio fiat
PASS(I)ONS
Une lettre s’ajoute, une lettre se soustrait... et tout bascule : le Verbe s’autogère et reste maître des destinées.
Dix lignes par page doivent suffire à la démonstration : encore faut-il prendre soin de s’accorder la lenteur d’une lecture fragmentée prise au fil des hasards, privilège à cultiver...
Ne passons pas et les passions resteront !
Impressions Impressões
L'auteur Emilio MORAIS pour son deuxième ouvragez nous gratifie de beaux textes accrocheurs et émouvants.
En français sa langue d'adoption et en sa langue maternelle le Portugais.
Vous prendrez du plaisir à les découvrir.
CENT FAÇONS Poémes-bêtes
Cent façons : soit cent textes de dix vers chacun (des « dizains » disait l’autre...), lesquels, indépendants et autonomes, sont dits « bêtes »... Tous en effet ont en facteur commun le monde des animaux ; des noms, connus ou plus rares, porteurs d’interrogations, source de modulations souvent ludiques, souvent révélatrices : la cohabitation animal-homme reste d’un équilibre complexe.
Le rythme du dizain, quant à lui, est en soi une forme d’harmonie interne : en supprimant les zéros de « 10 » vers et de « 100 » textes, l’on retrouve le 1, ce Un d’origine et d’aboutissement d’une totalité créatrice symbolique ; tout un programme à découvrir sans façon...